C'est grâce aux études menées par Jean-Pierre Moussu, enseignant à l'ENS de Lyon, sur les merles, qu'ont pu être débnombrés 15 couples dans le jardin de l'école. C'est une densité élevée par rapport à celles connues en milieu rural et forestier. La carte des territoires montre que le jardin est saturé : il n'y a en effet pas d'espace vierge de territoires. Le mode de gestion différencié du jardin offre donc en apparence des conditions satisfaisantes pour le maintien de cette population, dont on pourrait même attendre qu'elle soit une source locale d'individus produits par reproduction et qui pourraient coloniser des zones moins favorables. Pourtant, les premiers résultats concernant le succès reproducteur semble raconter une toute autre histoire à découvrir prochainement.…